Noël ou la pauvreté de Dieu
L’allocution en vidéo sur YouTube
SuiteRéflexions sur les territoires
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SuiteLa ruralité est au centre des préoccupations mondiales, dès lors que l’humanité est conduite à l’élément terre… À l’élémentaire c’est dire à son rapport vital à la nature et au “vivant” et en particulier à un humanisme où l’homme fait corps avec la Création. Sans doute, le rural a-t-il besoin des métropoles, des villes moyennes, mais plus encore ces dernières ont besoin de la ruralité où se tiennent des gisements pour acquérir, dans ce monde dangereux, une sagesse humaine et peut-être une sagesse dans l’esprit de l’Évangile. L’Esprit peut se poser
SuiteQuelles couleurs apposer sur ce Plateau vilipendé par ceux qui ne l’habitent pas ? Le Plateau de Millevaches est en réalité débordant de vitalité. Il se visite d’abord par l’intérieur pour connaître son âme entrée en jouvence – il y a quelques années – sur une terre accueillante imbibée de la sueur des gens du terroir. De belles personnes venant des métropoles, du centre ou de leurs banlieues, se sont sentis attirées par ces espaces avec au cœur une décision de quitter ce
SuiteNotre diocèse , en chemin synodal, est en quête de nouveaux chemins pour l’Evangile. Les prêtres n’ont-ils pas à retrouver la manière de Paul éveillant lors de son itinérance les personnes à la vie du Christ et formant des communautés ?
SuiteLa charité est la mise en oeuvre de l’amour de Dieude la manière la plus parfaite, puisqu’elle se réalise dans la manière d’aimer du Christ.« Dieu a tant aimé le monde qu’il nous a donné son Fils bien-aimé. « En toi j’ai mis tout mon amour » Tu es mon fil bien-aimé. Et cet amour s’exprime dans sa Charité pour ceux que le Père lui a donné et pour la multitude. Ubi caritas et amor Deus ibi est C’est de
SuiteLaurent Le Boulc’h invite à la réflexion sur la ruralité. Sa réflexion le conduit à se demander si notre époque du virtuel n’aspire pas à enracinement dans le local avec une ouverture au global. Une approche qui mérite un détour.
SuiteSamedi 3 novembre monsieur Guy Marchal exposait photographies et peintures au restaurant Ardesia de Peyrelevade. Ses photos traduisent un beau regard sur des paysages du Plateau avec une douce lumière sur la nature. Les peintures se veulent évocatrices. Elles n’enferment pas le regard, mais laissent libre cours à l’esprit. C’est ce qui rend plaisantes les œuvres exposées au visiteur. Notre pays a besoin de créateurs qui ouvrent à la beauté, tout comme il a besoin de décliner la qualité sous bien
SuiteJean-Baptiste Moreau se laisse facilement aller à ce qu’il appelle, lui-même, le « coup de gueule ». Chacun a son tempérament et chaque tempérament demande à être accueilli mais décodé pour percevoir l’intention des propos. Assurément le fléchage de l’EN’DUO 2022 a été saboté. La question n’est pas tant de connaitre l’auteur ou les auteurs, que de faire une lecture de l’évènement. 400 motards. Une course bien ancrée dans la tradition. Des organisateurs passionnés. Et crac ! une paille dans le
SuiteUne très belle rencontre, d’une semaine, s’est déroulée, lors de la Toussaint des chrétiens, dans les salles paroissiales St Psalmet à Eymoutiers. Durant une semaine 70 personnes se sont rassemblées, la plupart entre 25 et 40 ans autour de la mort à « réenchanter ». Le mot est étrange quand la mort est implacable . Toutefois Saint François en avait parlé en louant Dieu pour « notre sœur la mort ». Ce qui m’a marqué c’est le ton de la
SuiteSommes-nous encore monothéistes ? Laurence DEVILLAIRS, philosophe, article publié dans le Journal La Croix du 31 Octobre 2022 Il fut un temps où la question était de savoir si nous avions cessé de croire, si Dieu avait déserté nos consciences et nos sociétés. Nous parlions de déchristianisation, de sécularisation, d’abandon des valeurs chrétiennes… Croire relevait d’une autre époque, plus marquée par l’obéissance, ou plus encline à espérer. Ce temps et ces interrogations paraissent dépassés. Sécularisation, déchristianisation, laïcisation… : la question s’est déplacée.
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